Graphismes: 3,5/5
Parmi les premiers jeux de la N64, Snowboard Kids a comme beaucoup d'autres jeux, des sprites 2D dans des décors en 3D. La piste se charge assez loin en avance donc pas de problème de visibilité. Dommage que le jeu soit entièrement en Anglais
Son: 3,5/5
14 musiques qui mettent l'ambiance mais un peut répétitive à la longue. Voix Anglaises également
Gameplay: 2/5
Une fois qu'on a terminé le mode Entrainement, on se dit que le jeu est facile. Quelle belle illusion! Entrez dans les choses sérieuses avec le mode Battle Race et vous allez pleurer. Les 6 personnages différents et 3 snowboards ont chacun leurs statistiques. Soit vous allez plus vite mais vous tournez mal, soit vous tournez bien mais vous allez lentement, soit équilibré entre les deux. Choisissez TOUJOURS la vitesse sinon vous ne finirez jamais 1er, et apprenez à contrôler votre personnage comme un pro en déjouant les bugs de collision et les adversaires qui vous lancent des objets, sinon vous allez très souvent devoir recommencer la course. Jusqu'à 4 joueurs on peut en rire, mais en solo contre l'IA on s'arrache les cheveux. On peut avoir 2 objets en même temps, un rouge qu'on tir sur les adversaires devant soi (les 3/4 du temps ça ne marche pas), et un bleu de support. Il faut payer 100 Golds pour pouvoir récupérer un objet, sinon on se mange le bloc et on pert du temps pour rien. Les Golds se gagnent en les trouvant sur la piste ou en réalisant des figures en pleine course
Durée de vie: 3,5/5
5 personnages + 1 à débloquer en jouant au moins une fois sur chacune des 9 pistes différentes. Le mode Battle Race se termine quand on réussi à finir 1er sur toutes les pistes. Le mode Skill Game sert à faire ses meilleurs scores en figures ou à se taper dessus en bataille comme dans Mario Kart. Il y a aussi un mode Time Trial pour faire ses meilleurs temps. Le plus gros intérêt de Snowboard Kids est d'être joué à plusieurs
Total: 6,25/10
Snowboard Kids sort 9 mois après Mario Kart 64. Si il avait une bonne idée de concept, il n'arrivera jamais à la cheville de Mario